Trouver sa destinée

L’envie de trouver sa voie

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On a tous envie en secret de trouver sa voie, ce pour quoi on est fait. On sent, comme un appel intérieur, qu’il est important pour soi de connaître l’activité, le métier, les passions qui nous correspondent vraiment, qui vont nous faire vibrer,  nous faire sentir vivants et à notre place. On a envie, un matin, d’être bien dans sa peau et on sait, au fond de soi, que c’est possible. Mais comment y parvenir aujourd’hui? On finit par se dire qu’une voyante, qui lit l’avenir, doit connaître tout cela, elle, et ses fameuses clés pour ouvrir les portes du bonheur…

La voyance donne-t-elle les clés de nos malles secrètes?

Quoi qu’on puisse vous annoncer; si vous ne le ressentez pas dans vos tripes, vous ne ferez aucune démarche de votre plein gré, avec le même enthousiasme et la même conviction que ceux que vous posséderez un jour par vous-même et qui seront le vrai moteur de votre réussite. Une consultation de voyance peut vous rassurer… OUI, pour un temps.

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Venir sans un début d’intuition, sans avis propre sur vos grandes interrogations, va vous mettre dans une position d’attente, de victime de la vie. Vous allez laisser la responsabilité de votre présent et de votre futur à une autre personne que vous. Le voyant doit éclairer une situation. Il donne des probabilités, il n’est pas capable de choisir à votre place, de vous dire ce que vous devez faire, il n’a aucun pouvoir sur votre futur. Vous si. Sauf si vous le laissez diriger votre vie en lui donnant les rênes. Dans ce cas-là, soyez en conscient. Il ne saura pas mieux que vous ce que vous devez faire; s’il se trompe, ne lui en veuillez pas. Vous avez préféré choisir de suivre sa vision de votre monde plutôt que la vôtre. C’était une expérience à vivre. Après avoir essayé, à vous d’en tirer les conclusions et de vous demander qui est le responsable de votre bolide personnel. Qui mène votre vie, qui lit la carte routière, qui met de l’essence dans le moteur, qui conduit sans se reposer toutes les deux heures?

Vos choix d’aujourd’hui, les remises en question de vos fonctionnements, le recul sur vos décisions vont changer le cours des choses, vont envoyer un autre écho sur votre futur, vont impacter votre vie présente, passée et future.

Se détacher de ses dépendances, de ses attentes, s’émanciper de son passé, dépasser ses peurs et sortir de ses croyances limitantes, voilà le travail auquel vous allez être confronté un jour ou l’autre si vous avez envie d’être heureux, maître de votre vie et de vos choix.

Sans ce nettoyage, sans ces prises de conscience, vous continuerez à chercher une autorité extérieure qui, selon vous, sait ce qui est bon pour vous. Et vous courrez de thérapeutes en coachs, de manipulateurs en chéris autoritaires, de voyants en astrologues, de médecins en accompagnants en tous genres, sans avoir l’impression d’avancer vraiment et en continuant à vous tourmenter vous-même.

Pensez à développer votre confiance en vous, ne négligez pas votre ressenti, apprenez à gérer vos émotions pour les laisser éclore à nouveau et avoir un autre référent que votre mental qui a toujours besoin d’un avis extérieur…

Commencer un travail sur soi?

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On se rend compte un jour qu’on n’est plus en accord avec notre éducation, les règles de la société ou les repères de notre entourage… On a envie de changer de vie — mais par où commencer? Comment faire pour fonctionner autrement?

C’est souvent à ce moment précis qu’un individu commence à faire ce qu’on appelle, dans le jargon ésotérique, un “travail sur soi”… On revisite notre vie, notre passé, nos croyances.

On fait souvent une première démarche chez un psy qui nous aide à verbaliser notre mal-être, nos ressentis, les non-dits familiaux… Puis, une fois qu’on a identifié la source de nos problèmes, on se dirige vers un autre accompagnant. On peut ainsi aller longtemps d’un accompagnant à un autre, d’un thérapeutes à un coach, d’une voyante à une autre psychologue… Se remettre en question n’est pas toujours facile. Enlever les couches de nos habitudes, réflexes, croyances prend des années… Quitter un accompagnant, c’est commencer à sortir d’une dépendance, c’est le premier pas vers son émancipation… qu’on a rarement faite jusqu’au bout à la sortie de l’adolescence… Couper le cordon est douloureux.

On revisite ses croyances, son éducation, ses transmissions… On prend conscience de ses attentes sur les autres, de ses scénarios infantiles et des zones de sécurité qu’on a établies autour de soi, des bons cocons destinés à se protéger émotionnellement. On avait appris à gérer sa vie en ayant mis en place une multitude d’habitudes qui ont fini par nous rendre prisonnier de notre propre vie, de notre corps, de notre quotidien…

Comment faire pour détricoter tout ce travail et trouver le bout de la pelote de nos difficultés?

Comment accepter, avec notre grosse envie de changer et de construire une nouvelle vie, de prendre le temps nécessaire?

Comment comprendre le besoin de ce temps précieux pour transformer notre être en pleine impatience?

Comment faire pour coller à notre personnalité profonde et non perpétuer nos comportements bâtis par notre Ego, depuis l’enfance, pour nous protéger et ne pas trop souffrir?

Demander de l’aide

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Ce travail personnel peut être réalisé “facilement” en se reliant à soi par le corps ou par la créativité, afin de trouver sa place au milieu des autres, de développer son discernement, d’augmenter la confiance en soi et de maîtriser son émotivité en apprenant à gérer son hypersensibilité.

Seul, c’est vrai, ce n’est pas toujours évident. Quand vous avez suffisamment tourné en rond, je vous vois venir solliciter mon aide.
Je peux vous aider en vous proposant un travail sur le corps destiné à développer votre intuition ou en vous accompagnant dans vos projets, en expérimentant le bien-être que votre envie vous procure en relaxation, ou en essayant, avec vous, de lui donner forme. Je ne pourrai pas faire les choses à votre place ni vous rassurer sur la mise en place et la réussite  de vos projets. Tout va passer par votre ressenti et votre action.

Lors des moments de relaxation guidée que je propose, en apprenant à entrer dans cet état de détente, petit à petit, on ne s’inquiète plus, mais on se pose de vraies questions et on reçoit alors de vraies réponses, qui résonnent en nous comme des évidences. On expérimente, à travers le ressenti de notre corps, si la voie que l’on emprunte génère du stress ou du bien-être, des peurs ou des angoisses, ou au contraire nous transmet un état de joie et de sérénité — “tout va bien je continue”.

Le travail sur le corps nous fait retrouver les émotions qui nous font nous sentir bien ou mal face aux évènements, face à ce que nous vivons. Nous pouvons alors choisir en toute confiance ce que nous aimons et qui nous procure un vrai plaisir. Nous prenons conscience de ce qui est lourd pour nous et engendre du stress, de la colère, un mal-être qui se manifeste même physiquement par un mal de gorge, de ventre ou de dos. Nous devenons référents pour nous-mêmes. Notre ressenti physique est un bon indicateur de ce qui nous convient maintenant, là, tout de suite.

“Je me sens bien, je continue; je me sens mal, j’arrête.”

C’est pour cela que je dis que c’est facile. Une fois relié à son corps, on ne peut plus faire “avec” ou semblant que tout va bien…

En vous reconnectant à votre corps, soit par la créativité, soit par le sport, par les énergies, la relaxation ou la respiration, vous allez à nouveau sentir vos émotions… Colère, joie, enthousiasme, tristesse, bonheur… Un panel d’émotions qui vont d’abord vous déstabiliser, vous interroger…  Vous allez même me détester, peut-être (je prends ce risque), ou vous éloigner de moi (ce n’est pas grave, rassurez-vous, c’est un geste d’émancipation, il sera bienvenu)…

Une fois relié à vos émotions, vous ressentirez de mieux en mieux ce que vous vous sentez capable de faire ou de ne pas faire. Vous serez de plus en plus prêt à vous positionner… et finalement à trouver votre place, en étant certain que c’est celle que VOUS avez envie d’avoir.

Un dernier passage incontournable pour avancer?

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Expérimentez vos envies, votre créativité et vos projets! Si vous restez coincé dans votre tête à ruminer vos peurs, si vous testez timidement, voire pas du tout, vos projets dans la matière, c’est-à-dire concrètement, vous abandonnerez en route et reviendrez au point de départ de vos tourments. “Que dois-je faire? Je n’y arriverai jamais…”

C’est par l’expérience que nous savons ce pour quoi nous sommes faits. Mettre les mains dans la pâte nous fait nous sentir à notre place si l’on y prend du plaisir ou nous montre immédiatement que cela nous déplaît  Il n’y a pas de meilleur chemin que de faire ce que l’on se sent l’envie d’enclencher maintenant. C’est en concrétisant notre idée (même dans notre cave) que nous saurons et que nous nous sentirons pousser des ailes.

On y va seul ou accompagné.

L’accompagnant n’est qu’une béquille sur laquelle on s’appuie le temps de fabriquer sa colonne vertébrale. Une fois plus sûr de soi, on fait tomber l’échafaudage d’une manière ou d’une autre — celle qui nous va le mieux — pour continuer seul ou bien avec une autre béquille qui correspond, après cette étape, à notre niveau ou vitesse d’évolution. On apprend petit à petit à s’écouter. C’est cela le principal atout pour réussir à se sentir heureux d’exister, d’expérimenter.

L’échafaudage n’est pas important. Seul compte ce que vous faites de vous. Le temps n’existe pas, seul l’état agréable devient le révélateur de notre chemin et de notre vitesse d’évolution. “Si je veux aller plus vite que mon potentiel, je vais me sentir mal. Je choisis de ralentir ou, de toute façon, rien ne se passera de constructif et la vie me ralentira naturellement.”

Au bout du compte, même si cela prend un, deux ou cinq ans, vous vous rendrez compte avec le temps et le recul que votre chemin est juste et vous conduit petit à petit vers votre destinée. Et vous finissez par vous dire, chaque jour que Dieu fait :

“Je suis heureux d’exister tout simplement, je suis content d’être enfin moi et heureux de tout ce que je vis et ressens.”